La bonté peut être appréhendée comme la mise en œuvre du bien ; dans la relation à l’autre, par les comportements que sont l’empathie et la bienveillance, mais aussi par le ressenti qu’elle nous donne d’éprouver.

Les hommes et les femmes qui croient recherchent Dieu comme source de bonté. De ce fait, elle devient pour eux un fruit de l’Esprit, un don qui vient d’au-delà d’eux-mêmes et qui prend un caractère particulièrement marquant : souvenons-nous par exemple du geste de l’évêque de Digne en faveur de Jean Valjean dans Les Misérables de Victor Hugo, alors même qu’il a été trompé !

« Soyez bon comme Dieu est bon ! » Telle est l’exhortation de Saint Matthieu au chapitre 5 de son Évangile (v.48). Comment avancer sur ce chemin, simplement mais de façon déterminée ? La bonté a-t-elle des limites ? C’est ce que nous vous proposons de découvrir en ce mois de l’Épiphanie.

Bonne année !