Est-ce que l’on peut être meilleur qu’hier ?
Les jeunes de l’Action Catholique des Enfants s’y sont essayés ! C’est au Mazet-Saint-Voy à la Costette qu’ils étaient réuni du 25 au 27 février nous avons même vu la neige tellement rare cette année !
La résolution Meilleur qu’hier s’est vécue à 100%, chacun a mis du sien !
Pour être Meilleur qu’hier rien de mieux que de débuter par se faire des amis et d’apprendre leurs prénoms. Tâche difficile mais avec des encouragements nous y arrivons : se mettre au service partager ensemble les tâches : mise de couvert, vaisselle, balayage, il y avait même un service pour mettre une bonne ambiance !
C’est en apprenant à cuisiner des produits frais que nous contribuons à être meilleurs qu’hier : moins d’emballage, de produit nocif à notre santé, à l’environnement… Nous avons aussi découvert que nous pouvions fabriquer des produits d’hygiène. Tel des petits chimistes, tous se sont essayés à fabriquer du baume à lèvre. A l’aide d’un petit métier à tisser y chacun a confectionné une éponge. Oui nous pouvons même recycler de vieux vêtements à cet usage !
Des règles de vie, les enfants savent se les donner. Pour vivre ensemble il faut établir des règles pour qu’il y ait une bonne entente entre tous, se respecter, respecter les lieux, le matériel…
Les plus grands se sont mis au défi de créer une chorégraphie sur la chanson Meilleur qu’hier. Jeux, danse, discussion, partage, musique, découverte, visite ont été bien présent tout au long du séjour !
Des phrases de la Bible nous ont éclairées pour voir ce que nous avions vécu ensemble : Zachée a un jour découvert qu’il pouvait être Meilleur qu’hier il a partagé sa fortune pour les plus pauvres et grâce à qui a Jésus. Oui, nous, responsable de l’ACE essayons de faire découvrir aux enfants qu’ils peuvent être les amis de Jésus. Il nous apprend à aller vers les autres, à être attentif aux plus petits, il nous encourage à être meilleur qu’hier. A leur arrivé chacun a pu dessiner dans quelle émotion ils arrivaient au camp : triste, joyeux, peureux. Quoiqu’il en soit, tous sont repartis avec la joie d’avoir passé un bon séjour. On apercevait aussi une petite tristesse de se laisser, le temps passe si vite !
Florence Bonnefoux
